jeudi 25 novembre 2010
Hier, avec les confrères, nous avons vécu une journée de pause, de réflexion. Quand on lit les textes de la messe, en ces derniers jours de l'année liturgique C, on espère tous trouver un oasis de repos, un amphithéâtre dans lequel la musique douce calmerait nos appréhensions face à l'avenir morose et destructeur décrit, face aux combats et aux sévices que subiront les justes.
(Textes liturgiques sur www.aelf.org)
Justement, hier, c'était ce calme, ce temps d'harmonieuses ritournelles… sur la sainteté du Frère André. Avec lui, comme guide sur le chemin de la perfection, on a le droit d'être un peu bougon, on a le droit de fustiger les importuns, de remettre en place les curieux, on a le droit d'être soi-même.
MAIS, (il y a un toujours un MAIS),
il faut surtout savoir être avec Dieu,
savoir écouter Dieu qui nous parle,
savoir chercher le temps pour prier Dieu,
savoir trouver Dieu dans le service des pauvres,
dans le soin des malades,
dans l'obéissance aux responsables.
À bien y penser, "Être saint, c'est faisable !"
Toi seul, Seigneur, peux allumer en nous l'incendie du cœur.
BÉNI SOIS-TU !Toi seul, Seigneur, peux dissoudre en nous l'amertume, la rancune, l'esprit de jugement.
BÉNI SOIS-TU !Toi seul, Seigneur, peux faire grandir en nous l'invention et la créativité de l'amour.
BÉNI SOIS-TU !(prière adaptée de La prière pénitentielle avant l'eucharistie, no 66, Gilles LINDSAY, f.s.g., prêtre)fin article - 3392 affichages depuis le 25 Nov 2010