vendredi 16 mars 2012
L'Évangile nous met en présence d'une série de chefs du peuple hébreu qui jouent au "chat et à la souris" avec Jésus. Tellement que, comme dans les films, on vient à détester et les uns et les autres, à souhaiter qu'ils le laissent tranquille, qu'ils lui permettent de guérir, d'enseigner, de consoler sans l'importuner. Ce matin on a un bon scribe à qui Jésus dira : "Tu n'es pas loin du royaume de Dieu." Pourtant on traitait d'une question bien simple, il y a combien de commandements et quel est le plus grand. Une réponse simple est venue : "Voici le premier : Écoute, Israël : le Seigneur notre Dieu est l'unique Seigneur. Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de tout ton esprit et de toute ta force." Et ensuite, Jésus complète… "Voici le second : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Il n'y a pas de commandement plus grand que ceux-là". Dieu et le prochain, voilà tout ce qu'on doit honorer.
Seigneur Jésus, permets que je me range avec le bon scribe pour louer ta sagesse. Je veux aussi m'engager envers cette Loi, celle qui me fait aimer Dieu de tout mon cœur, de toute mon intelligence, de toute ma force, et aimer mon prochain comme moi-même. Je veux que ce temps de Carême me rende capable d'approfondir ta Loi, tes commandements.
(Lire le texte en Mt 12, 28-34 ou aller à http://www.aelf.org/office-messe, 16 mars 2012)
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