lundi 22 janvier 2024
Faire le bien engage ; faire le mal aussi ! On devient objet de critiques, de suspicions dans les deux cas. Mais, c’est là que notre personnalité se distingue : en faisant le bien, nous faisons grandir l’humanité, nous ennoblissons le monde que Dieu a créé ; en faisant le mal, nous diminuons la vie, celle que le Créateur nous a demandé de faire grandir.
Jésus, placé devant les scribes qui ont dit de lui : « Ce Jésus est possédé par Béelzéboul ; c’est par le chef des démons qu’il expulse les démons. », Jésus leur parle de destruction, de division. Justement comment le mal peut-il détruire le mal ? « Comment Satan peut-il expulser Satan ? Si un royaume est divisé contre lui-même, ce royaume ne peut pas tenir. » Au contraire, l’homme de bien cherche à se protéger du mal, de la destruction : « Mais personne ne peut entrer dans la maison d’un homme fort. » Voilà ce que fait la personne humaine dont la vie est centrée sur celle de Jésus, même ses péchés, ses égarements, lui seront pardonnés : « Tout sera pardonné aux enfants des hommes : leurs péchés et les blasphèmes qu’ils auront proférés. »
Cette personne humaine qui vit selon l’Évangile, ne pourra pas désespérer de sa vie future ; elle espérera aussi du bien qu’elle sème dans notre société. Cela doit aussi m’encourager à aller de l’avant, à regarder plus haut, à viser vers mon idéal, Jésus.
(Lire le texte en Mc 3, 22-30 ou aller à www.aelf.org, 22 janvier 2024)
fin article - 103 affichages depuis le 22 Jan 2024