mardi 14 mars 2023
Les moyen sociaux de communication, personnels ou officiels, apportent, chaque jour, à chaque instant, tout ce qui se passe sur notre lopin de terre, sur la planète, localement et mondialement. On passe alors par des sentiments divers : de la surprise, de l'étonnement, de la pitié, de la joie… difficile de rester indifférentE.
La parabole de Jésus, celle du roi, du maître qui a deux débiteurs, nous questionne à la fois sur le pardon et sur notre pitié personnelle. À l'un, le roi remettra une somme énorme pour l'époque, car il a écouté avec patience les bonnes résolutions : "Prends pitié de moi, je te rembourserai tout." La commisération du roi a pris le dessus sur le gain de fortune, son cœur humain a recouvert ses pertes financières. Puis ce serviteur gracié voit un ami qui lui doit une si petite somme par rapport à la sienne qu'on a le goût d'en rire. Pas lui ! Il fait saisir les biens matériels et la famille et aucune raison ne l'emporta : il "refusa et le fit jeter en prison jusqu’à ce qu’il ait remboursé ce qu’il devait." Ses compagnons se sont indignés et racontent au roi cette vilaine histoire. Le roi se saisit de cette personne et lui dit : "Ne devais-tu pas, À TON TOUR, AVOIR PITIÉ de ton compagnon ?"
La leçon est claire pour chacunE de nous. Nous avons péché et la miséricorde de Dieu agit en nous chaque jour, Dieu merci ! Et nous, face aux autres ?
(Lire le texte en Mt 18, 21-35 ou aller à www.aelf.org, 14 mars 2023)fin article - 664 affichages depuis le 14 Mar 2023