Chaque pèlerin a reçu un agenda culturel et liturgique dans lequel on a pu trouver une panoplie d’activités telles que : cinémas, musées y compris le Prado, multiples kiosques tenus par les différentes communautés religieuses, orchestres symphoniques, cœurs de chant, etc. Certains membres de notre groupe ont pu visiter un musée dédié à l’héritage de mère Teresa. Au cinéma, on peut aller voir des films qui traitent de l’appel vocationnel, de la foi, des Dieux et des hommes, de la passion du Christ, etc. Une seule chose manque : le temps pour satisfaire notre appétit.

Parlant d’appétit, on est bien servi sur le plan culinaire, la meilleure organisation matérielle depuis que je me rends aux JMJ, soit depuis Denver en 1993. On a accrédité 2000 restaurants aux quatre coins de la ville et au centre, et les pèlerins ont l’embarras du choix.  Qué y dónde comer? des pâtes, du poulet, des salades, du porc, du poisson. Pour breuvage, de l’eau et pour dessert, une glace. Un bon repas chaud servi rapidement. Quel contraste avec les boîtes à lunch des JMJ précédentes!

Par ailleurs, cela occasionnait des retards considérables. Ainsi les catéchèses se terminaient vers 2 heures 15 et le temps de se rendre à un restaurant accrédité et de faire la queue impliquait un dîner qui se terminait vers 16 heures….Un après-midi un peu tronqué donc et surtout un souper vers 21 heures et un repos écourté, pour repartir tôt le lendemain…

Georges Croteau, f.s.g.