lundi 9 mars 2020
L'Église nous a fait célébrer une année de la MISÉRICORE, il y a quelques années. Chaque personne devait méditer ce mystère du Père et du Fils dans l'amour de l'Esprit. Un cœur qui accueille la misère des humains, un cœur qui se dépasse dans le don, il PARDONNE. Jésus revient là-dessus car il sait que depuis la Création nous vivons beaucoup d'égoïsme, nous sommes le point central de notre vie. Si cela est bon et nécessaire pour notre croissance personnelle, il faut aussi s'ouvrir à l'autre, l'apprivoiser et s'oublier : "Ne jugez pas, et vous ne serez pas jugés ; ne condamnez pas, et vous ne serez pas condamnés. Pardonnez, et vous serez pardonnés. Donnez, et l’on vous donnera." Encore ici, le message est clair, il faut aller vers l'autre. MISÉRICORDE, PARDON. SI on ne fait pas cela : "la mesure dont vous vous servez pour les autres servira de mesure aussi pour vous." C'est le même message que nous disons souvent dans le Notre Père… pardonnez-nous, comme nous pardonnons aussi… Et il faut le vivre !
Dans ma vie quotidienne, il y a sûrement des besoins de MISÉRICORDE, de PARDON, pour moi et envers les autres. Cette mesure utilisée servira lors de mon jugement final.
(Lire le texte en Lc 6, 36-38 ou aller à https://www.aelf.org, 9 mars 2020)
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