JE ME REPENS

lundi 12 novembre 2018

C'est souvent que nous devons nous excuser, une façon de dire JE ME REPENS… c'est-à-dire qu'on reconnaît que quelque chose de pas correct ou d'inhabituel s'est produit. Certaines personnes disent, au lieu du mot EXCUSES, elles avancent le mot DÉSOLÉ.

L'évangile de ce jour nous fait compter nos EXCUSES ! On sait que la personne humaine s'irrite facilement, elle se fâche, elle se met même en colère pour un tout, pour un rien. Un travail mal fait, une tâche bâclée, un accident, un objet brisé, un retard aux feux de circulation, tout devient prétexte pour exprimer notre colère, notre impatience. Jésus nous dit jusqu'où doit aller notre pardon : "Même si sept fois par jour il commet un péché contre toi, et que sept fois de suite il revienne à toi en disant : “JE ME REPENS”, tu lui pardonneras." Mais ce '7 fois' proposé par Jésus est comme une expression infinie, elle veut dire toujours.

Imaginons-nous à dire sans cesse, je te pardonne, à celui(celle) qui dit JE ME REPENS, excuse-moi, désolé ! Notre nature analytique se rebiffe un peu, et parfois, beaucoup… selon notre caractère. Provoquer le scandale mérite la réprobation. Pardonner, c'est sans limites. Avoir la foi, gros comme une graine de moutarde, c'est époustouflant.

Avec Jésus, aujourd'hui, je me surprends à accomplir de petits miracles.

(Lire le texte en Lc 17, 1-6 ou aller à https://www.aelf.org, 12 novembre 2018)




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