mardi 16 juillet 2013
Je connais, et vous aussi sûrement, des gens qui veulent et qui ne veulent pas. Devant des choix, ils sont si hésitants qu'on choisirait à leur place et ça ne serait pas si mal que cela.
Aujourd'hui Jésus mentionne des villes de son époque et dit : "Malheureuse es-tu, Corazine ! Malheureuse es-tu, Bethsaïde ! Car, si les miracles qui ont eu lieu chez vous avaient eu lieu à Tyr et à Sidon, il y a longtemps que les gens y auraient pris le vêtement de deuil et la cendre en signe de pénitence." Il y a eu des villes, des villages qui ont accepté de faire le changement de vie, de suivre les préceptes d'amour, de tendresse, de miséricorde, d'attention à l'autre que Jésus est venu enseigner. Elles se sont converties. Même la vie de Capharnaüm semble pire que Sodome.
Ça nous ressemble, ON VEUT, ON NE VEUT PAS ! Le message évangélique, on le sait, on le connaît, on peut même en réciter des bouts par cœur, mais ce même message commande un changement de route, d'itinéraire… Là on hésite, on a peur, on ne sait pas si…, ON VEUT, ON NE VEUT PAS ! J'identifie, dans ma vie quotidienne, comment j'accueille ces obligations de changement.
(Lire le texte en Mt 11, 20-24 ou aller à http://www.aelf.org/office-messe, 16 juillet 2013)
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