lundi 18 février 2013
Quand nous lisons les journaux, lorsque nous regardons la télévision, les annonces d'assurance pour préserver notre vie, nos biens mobiliers, nos voitures, les voyages, etc., s'affichent allègrement. Pourquoi ? Parce qu'un malheur est si vite arrivé. Pensez à ce navire de croisière, la semaine dernière ! L'Évangile de ce jour nous propose une police d'assurance pour le ciel.
Jésus nous amène lors du jugement final, "alors il siégera sur son trône de gloire. Toutes les nations seront rassemblées devant lui ; il séparera les hommes les uns des autres, comme le berger sépare les brebis des chèvres : il placera les brebis à sa droite, et les chèvres à sa gauche". De fait cette séparation se fera très rapidement et selon un seul critère très simple : l'amour de Dieu dans le prochain. "J'avais faim, j'avais soif, j'étais étranger, j'étais nu, j'étais malade, j'étais prisonnier" et vous m'avez aidé. "Venez, les bénis de mon Père, recevez en héritage le Royaume préparé pour vous depuis la création du monde".
Ma police d'assurance pour le ciel, elle est là, chaque jour devant moi. Je la rencontre sur la rue, dans ma famille, à mon travail, à l'église. Dieu se présente à moi partout et si je paie mon écot, j'acquitte ma police d'assurance en partie. Le temps de Carême est un moment pour faire l'aumône, la prière et partager. Alors je commence… ou mieux, je continue.
(Lire le texte en Mt 25, 31-46 ou aller à http://www.aelf.org/office-messe, 18 février 2013)
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