dimanche 3 février 2013
Jésus continue sa visite dans la synagogue de sa ville natale, il a prêché mais les concitoyens semblent dubitatifs ; ils aiment ses paroles, son enseignement mais "Ils se demandaient : N'est-ce pas là le fils de Joseph ?" sachant que Joseph était simple charpentier. Jésus leur donne alors deux exemples de la grandeur divine, Naaman et la veuve de Sarepta… Dieu a visité les païens et leur a montré son amour de prévenance, il les a sauvés. "À ces mots, dans la synagogue, tous devinrent furieux. Ils se levèrent, poussèrent Jésus hors de la ville, et le menèrent jusqu'à un escarpement de la colline où la ville est construite, pour le précipiter en bas".
Accueillir Jésus c'est l'accueillir tout entier, dans ses bonnes phrases, ses bons enseignements et aussi dans tout ce qui chatouille ma paresse, mon laisser-faire, ma tiédeur, ma tranquillité, ma pusillanimité.
Accueillir Jésus c'est aller trouver, dans chaque recoin de ma vie, ce qui a besoin d'être bonifié, éclairé, changé, purifié par la Parole même de Dieu.
Accueillir Jésus c'est mettre l'Évangile comme phare de ma barque, c'est marcher sur la route de ma vie avec l'Évangile comme "Code de la Route", c'est toujours regarder sur la montagne, c'est là que la Croix me donnera la Vie.
(Lire le texte en Lc 4, 21-30 ou aller à http://www.aelf.org/office-messe, 3 février 2013, 4e dimanche T.O., année C)
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