samedi 31 mars 2012
IL LE SAIT vraiment ; on le cherche pour le faire mourir. Il n'a fait que du bien, replacé les choses religieuses dans leur cadre, parlé d'amour, de bonne entente, de tendresse, de pardon ; mais cela dérangeait : "Les chefs des prêtres et les pharisiens convoquèrent donc le grand conseil ; ils disaient : Qu'allons-nous faire ? Cet homme accomplit un grand nombre de signes." Il vient de ressusciter Lazare, son ami. Une personne du Conseil, Caïphe, proposera qu'il meure pour toute la nation : "il vaut mieux qu'un seul homme meure pour le peuple, et que l'ensemble de la nation ne périsse pas." Jésus ne tente pas l'impossible, il s'en va ailleurs. "C'est pourquoi Jésus ne circulait plus ouvertement parmi les Juifs ; il partit pour la région proche du désert, dans la ville d'Éphraïm où il séjourna avec ses disciples".
Seigneur Jésus, tu sais tout. Conduis-moi là où tu veux. Que je sache regarder où tu vas, partager ta route, aimer mes ennemis, apprécier ceux que j'aime en toi. Vivre avec toi, Seigneur, c'est aussi accepter de prendre la croix, de suivre ce chemin qui va de la mort à la Résurrection. Comme le dit cette hymne : "Je veux te suivre jusqu'à la croix, viens me prendre par la main !" (fiche G-79)
(Lire le texte en Jn 11, 45-57 ou aller à http://www.aelf.org/office-messe, 31 mars 2012)
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