vendredi 2 novembre 2018
Une publicité, qu'on peut lire dans plusieurs journaux, nous annonce un Salon de la Mort ! On veut renseigner les visiteurs sur tous les différents frais occasionnés par cette issue. Et c'est vrai que ça coûte cher de mourir !
Mais ce qu'il faut savoir et prier, c'est ce qui arrive ensuite. Beaucoup de nos contemporains affirment que ça finit là, quand on perd la vie, quand nos signes vitaux sont nuls. Pourtant, les croyantEs que nous sommes savent bien que la vie se poursuit d'une manière différente… comment ? avec qui ? Voilà le mystère de la mort. Ce que je sais, ce que toutE croyantE sait, c'est qu'il y aura un passage devant le Juge de notre vie vers sa Vie éternelle. Il nous demandera si nous l'avons reconnu, servi, aimé, soigné, visité, nourri, désaltéré… et ce, pas une seule fois mais tous les jours. "Chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait". J'aimerais que cette phrase, et les gestes qu'elle impose, devienne comme le guide de ma vie quotidienne. Mourir ainsi c'est vivre. Les morts, qui sont en Dieu, ne nous ont jamais dit, quelle grandeur, quelle grosseur, quelle intensité doit avoir notre charité, notre reconnaissance de Jésus mais sûrement qu'ils sont là pour nous guider vers la VIE.
Je crois que mon Rédempteur est vivant et qu'avec Lui, je ressusciterai !
(Lire le texte en Mt 25, 31-46 ou aller à https://www.aelf.org, 2 novembre 2018)
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