vendredi-saint 30 mars 2018
Ce n'est pas une journée comme les autres ! On est à travailler ou en congé selon notre profession, notre emploi. Les chrétiens, de par le monde, célèbrent aujourd'hui la mort de leur Sauveur, Jésus.
Toute la liturgie de la Parole vient nous faire comprendre que ce Jésus qui est venu parmi nous, il l'a fait pour réaliser le plan du Père, sauver, racheter cette création qui, remise dans les mains de l'homme, tend souvent à dévier de son but ultime, la gloire du Créateur. Jésus sera mis en face de ses juges, civils et religieux, il expliquera, encore une fois, sa mission : "MONTRE CE QUE J’AI DIT DE MAL", dira-t-il à celui qui le frappe. Il est passé parmi nous en faisant le bien, en apportant miséricorde et paix ; il a consolé des mamans, des papas, des enfants ; il a nourri des foules ; il a prêché le Royaume de Dieu, son Père. Où est le mal ?
En ce jour, avec Jean, avec Marie, au pied de la croix, j'entends les paroles de Jésus, ses dernières paroles avant de mourir, les propos d'un moribond : "VOICI TON FILS ; VOICI TA MÈRE ; TOUT EST ACCOMPLI." En ce jour, je suis là, attentif, attentive, avec Marie, ma MÈRE.
(Lire les textes en Is 52,13 à 53,12 ; He 4,14-16 ; 5, 7-9 ; Passion selon saint Jean : Jn 18,1 à 19,42 ou aller à http://www.aelf.org, 30 mars 2018)
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