DANIEL, GRAPHOLOGUE

mercredi 29 novembre 2017

Dans une rencontre, hier, une personne a pris une lettre reçue et a analysé l'écriture des signataires. Celui-ci est artiste, l'autre plus organisateur, le troisième, c'est le chef ! Que de signes cachés dans notre graphie.

Le roi Balthazar donne un festin et il utilise les vases sacrés que son père Nabucodonosor avait ramenés de ses conquêtes à Jérusalem. La fête est bonne, grandiose tant et aussi longtemps que n'apparaisse une main écrivant sur le mur, face au roi : "Mené, Mené, Teqèl, Ou-Pharsine." Même les invités du roi et le roi lui-même ne savent pas le sens de ces mots. La gêne s'installe chez les convives. Le roi fait venir Daniel qui expliquera le sens des mots, des signes écrits : "Compté. Pesé. Partagé." Voilà ce qui attend le roi. Une menace ? De l'intimidation ? Le message donné par Daniel : Dieu nous aime et il faut l'aimer. "Mais tu n’as pas rendu gloire au Dieu qui tient dans sa main ton souffle et tous tes chemins". Voilà comment je pourrais aussi recevoir des inscriptions sur le mur de mon existence, si je ne suis pas fidèle à Dieu, à ses plans.

Dans ma lecture de ce passage, je retiens que Dieu écrit aussi dans ma vie ; je dois apprendre à lire ses avis, ses "post-it" collés ici et là. Et si j'avais besoin d'un-e graphologue, je vais voir Marie : elle qui a appris à écrire à Jésus m'aidera à comprendre son écriture, ses messages.

(Lire le texte en Dn 5, 1-6.13-14.16-17.23-28 ou aller à http://www.aelf.org, 29 novembre 2017)



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