LE PREMIER MOIS

vendredi 17 juillet 2015

En lisant le texte de la fête de la Pâque on a l'impression d'assister à une description d'un tournage de film, tout est précisé, tout est rituel !

Israël était le peuple choisi, il fallait que Dieu lui-même l'instruise de tout. Il voyait, souvent en maugréant, en se plaignant, comment Dieu le faisait passer de la mort à la vie, de l'esclavage à la liberté… et ce passage de la Pâque, le départ de l'Égypte, le repas à manger "la ceinture aux reins, les sandales aux pieds, le bâton à la main. Vous mangerez en toute hâte : c’est la Pâque du Seigneur". Et l'agneau "sera un mâle, de l’année. Vous prendrez un agneau ou un chevreau. Vous le garderez jusqu’au quatorzième jour du mois". Et le rite du sacrifice : "Dans toute l’assemblée de la communauté d’Israël, on l’immolera au coucher du soleil. On prendra du sang, que l’on mettra sur les deux montants et sur le linteau des maisons où on le mangera."

Dans ma vie personnelle j'ai peut-être laissé tomber pas mal de "choses" de l'Église… les prières, les signes de mon adhésion à Jésus, la pratique hebdomadaire. J'ai peut-être aussi oublié les lois de l'Évangile, celles de la miséricorde, du pardon, de la tendresse, de l'amour pour le petit, le malade, le pauvre… Alors, je reviens vers ma Pâque : "C’est un décret perpétuel : d’âge en âge vous la fêterez."
(Lire le texte en Ex 11, 10 - 12, 14 ou aller à http://www.aelf.org/office-messe, 17 juillet 2015)





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