dimanche 19 octobre 2014
Non, je ne suis pas tombé sur la tête ! Cette phrase n'est pas de moi, n'est pas pour moi, elle est prononcée par le Seigneur au roi Cyrus. "Parole du Seigneur au roi Cyrus, qu'il a consacré, qu'il a pris par la main, pour lui soumettre les nations et désarmer les rois, pour lui ouvrir les portes à deux battants, car aucune porte ne restera fermée (…) pour que l'on sache, de l'orient à l'occident, qu'il N'Y A RIEN EN DEHORS DE MOI".
À la fin de cette assemblée synodale sur la famille, avec tous ces mouvements de contestation dans notre Province, en pensant aux ravages de l'épidémie d'Ébola, cela fait du bien d'entendre ces paroles qui remettent nos vies, nos pensées, nos actions dans la ligne de la Parole de Dieu : "… Israël mon élu, je t'ai appelé par ton nom, je t'ai décerné un titre, alors que tu ne me connaissais pas."
Dans le même sens, l'évangile de ce dimanche nous place devant des gestes à poser, des actions sans questions : "Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu." C'est clair, non ?
Alors que des signes semblent vouloir me faire douter de Dieu présent dans ma vie, lui qui est Providence du monde d'aujourd'hui, ce monde qui tente de me le faire oublier, de le mettre de côté, qui veut me le faire changer pour de petites divinités électroniques, je reviens à cette FOI de mes ancêtres… "IL N'Y A RIEN EN DEHORS" de Dieu.
(Lire le texte de la première lecture en Is 45 1.4-6 ; l'évangile en Mt 22, 15-21 ou aller à http://www.aelf.org/office-messe, 19 octobre, 29e dimanche T.O., année A)
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