mercredi 2 avril 2014
Notre mémoire, en vieillissant, a tendance à oublier. Une expérience que nous pouvons vérifier quotidiennement quand nous recherchons un dossier, notre cellulaire, notre portefeuille, nos clés, le mot de passe… Et disons que les plus jeunes, surtout à l'adolescence, utilisent davantage leur mémoire sélective que leur mémoire tout court !
Le titre de cette méditation vient de la bouche même de Dieu en Isaïe : "Jérusalem disait : Le Seigneur m'a abandonnée, le Seigneur m'a oubliée. Est-ce qu'une femme peut oublier son petit enfant, ne pas chérir le fils de ses entrailles ? Même si elle pouvait l'oublier, MOI, JE NE T'OUBLIERAI PAS." Nous nous connaissons, nous savons bien de quelle façon nous vivons notre vie à la suite de Jésus ; le chemin de la conversion est toujours difficile à trouver alors que tant de bonnes choses nous arriveraient comme : "dire aux captifs : Sortez de votre prison ! À ceux qui sont dans les ténèbres : Venez à la lumière ! Même sur les chemins, mes brebis pourront paître, dans toutes les terres désolées elles trouveront des pâturages." Et le texte en cite plusieurs autres. Mais déjà je m'arrête là pour seulement penser à ce petit bout de phrase donnée par Dieu : " JE NE T'OUBLIERAI PAS."
Je savoure cela comme on savoure un bon plat, bien cuisiné et dont l'odeur emplit toute ma maison.
(Lire le texte en Is 49, 8-15 ou aller à http://www.aelf.org/office-messe, 2 avril 2014)
image tirée de http://claudev-images.blogspot.ca/2010/01/derriere-ma-fenetre.html
fin article - 1875 affichages depuis le 2 Apr 2014