mercredi 11 décembre 2013
Se penser plus haut que les autres, se croire plus finE, se gonfler de ses dons, de sa puissance, de ses prérogatives, ça c'est bien l'humain d'aujourd'hui et d'hier, même d'avant-hier. Dans notre jeunesse on a tous joué au "trône" sur les gros amoncellements de neige, …même les filles rivalisaient avec les garçons.
"À qui donc pourriez-vous me comparer, qui pourrait être mon égal ? dit le Dieu Saint". Isaïe nous met cela devant les yeux et nos oreilles l'entendent. Sauf que, pour Dieu, cette puissance est celle de l'amour pour les hommes et non celle de la domination. On cite tout ce que Dieu a fait pour nous, et le ciel des étoiles qu'il connaît, "il n'en manque pas une", et la terre entière…"il ne faiblit pas, il ne se lasse pas", et surtout ce qu'il fait encore pour nous, "ceux qui mettent leur espérance dans le Seigneur trouvent des forces nouvelles".
Oui Jésus, Dieu parmi nous, peut encore nous inviter à venir le rejoindre… il n'a pas son égal, il continue à nous aider. Dans tout ce que je fais Dieu est là, "Il rend des forces à l'homme épuisé, il développe la vigueur de celui qui est faible".
(Lire le texte en Is 40, 25,31 ou aller à http://www.aelf.org/office-messe, 11 décembre 2103)
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