SA MÈRE ÉTAIT VEUVE

dimanche 9 juin 2013

La situation des veuves dans le Premier Testament avait une attention spéciale de Dieu et des chefs. Ces personnes n'avaient plus rien et elles devaient se débrouiller pour vivre. On demandait aux gens une grande pitié et une grande tendresse pour ces veuves. Aujourd'hui, notre monde moderne a prévu des allocations, des assurances, des soutiens pour cette catégorie de personnes.

Près de Naïm, Jésus voit ce cortège et la mère, une veuve, qui va vers les tombeaux : "En la voyant, le Seigneur fut saisi de pitié pour elle, et lui dit : Ne pleure pas." Tendresse de Jésus pour celui, celle qui souffre, qui est dans le chagrin. On sait qu'il lui rendra son fils. "Un grand prophète s'est levé parmi nous, et Dieu a visité son peuple".

ChacunE de nous peut être ce prophète qui refuse la mort, qui la recule dans ses frontières. ChacunE de nous doit devenir porteur, porteuse de joie, de sérénité, de paix, d'entraide. Dans cette journée du dimanche, je prends un moment pour tenter d'apporter de la joie à une personne seule, à un enfant qui est dans les problèmes, à un ami qui file un mauvais quart d'heure…

(Lire le texte en Lc 7, 11-17 ou aller à http://www.aelf.org/office-messe, 9 juin 2013, 10e dimanche C)





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